
Halloween 2020
Pour certaines galeries photo, j’avoue qu’il m’est difficile de ne pas y mettre quelques mots, histoire de partager, ou plutôt vous avouer ce qui me passe en tête sur le moment.
Halloween …je sais que ma belle apprécie particulièrement cette saison de l’année. Après il est vrai que pour moi, toutes les saisons sont agréables, surtout aussi bien accompagné.
Nous nous étions dit pourquoi ne pas se faire un apéro, un repas comme si nous sortions diner. Étrange période sanitaire que nous traversons, mais le resto …c’est à la maison.
Douchés, habillés, nous nous rejoignons dans ce petit coin de la maison ….et non ,on ne va pas directement au donjon .
Ce petit coin reste l’angle du plan de travail dans la cuisine, prêt de la fenêtre pour fumer, un peu accoudés comme dans un bar pour trinquer, un petit endroit où il fait bon discuter, charmer, se laisser aller au point de finir certaine fois par y baiser.
Je l’attends justement dans ce petit coin de la cuisine quand ma belle y entre ….Wouaaaaa , de suite dans le vif du sujet , belle , envoutante…désirable à souhait et bien plus. J’aime jouer avec mes pulsions, j’y reviendrais , mais oui là , j’adore quand je sais dès les premières secondes que cela va être bien plus compliqué pour moi que ce que je n’imaginais.
C’est une femme libérée, elle se connait trop bien … ho non elle a bien changé oui, mais qu’elle vole à merveille depuis qu’elle est sortie de sa chrysalide.
Avant d’entrer dans la partie, trinquer ensemble me semble le plus adapté, après nous pourrons commencer à jouer.



Elle se met de suite à dandiner devant moi de façon sensuelle tout en se tenant à bonne distance. Bon choix, car si j’attrape de suite cette chienne nous allons déguster. Je vois dans son regard qu’elle le sait, et je vois qu’elle prend plaisir à m’allumer.





Elle me tourne le dos et se dévoile un peu plus à moi, cette lingerie transparente dévoile presque tout. Ce fessier sous cette fine lingerie me donne déjà follement envie de le croquer, de le caresser de le fesser.






Elle me fait face et lentement se rapproche de moi. Le regard brillant et malicieux, elle vient déposer ces jolis seins habillés à portée de mains, juste sous mes yeux.








Elle joue à laisser courir ses mains sur ses jolis seins sur ses généreuses courbes.
Oui, bien sûr que j’ai envie de la croquer tel un fuit trop appétissant, et je lui dis.






Elle reprend de suite cette distance « de sécurité ». Hooo ouiii, je lui ai déjà fait très mal en la mordant, mais cela reste de délicieux moments. Il serait tout de même dommage de commencer par le dessert, du coup elle fait bien de reculer, prenons le temps, tant que possible de nous désirer, de nous affronter à ces petits jeux. La saaaloooppee , elle prend place au milieu de la cuisine et se met dans une position qui ….à chaque fois , me vrille l’esprit.
Ce cul aussi joliment tendu, gainé dans cette fine culotte me laisse découvrir de bien excitantes vues







Lâche l’appareil qui l’immortalise ainsi, regarde ce cul, arrache-lui la culotte et apprécie ta chienne ...Non non pas de suite, résiste tant que possible, profite de tous ces moments présents qui vont te ravir à parcourir en souvenirs. C’est bien de ta faute ma belle que je sois à ce jour, autant accro à la photo. De la voir ainsi se cambrer qu’il est difficile de ne pas toucher, juste laisser courir une main, mais je vais juste me rapprocher, tourner autour de mon sujet et me délecter de tous ces délices à peine dissimulés.






Ainsi à me pieds, à se prosterner à ce point sans rien avoir encore demandé, je ne peux que céder. Mes mains s’égarent, mais plus sur les mêmes objectifs. Je découvre plus ou moins à pleine mains, les jeux de matières, de transparence.







Je m’agenouille à côté d’elle et je commence de petites caresses. Du bout des doigts je peux déjà au travers de se lingerie la sentir, découvrir qu’elle est humide au point mouiller son shorty.








Je me replace debout devant elle et comme par réflexe elle relève la tête et se positionne à genoux face à moi. Je sais ce qu’elle veut, je la connais, elle veut m’avaler , me goutter …comme si j’allais me laisser faire.






« Reprend ta posture et attends moi ainsi ma belle le cul tendu » Je place à côté de moi un tabouret et l’invite à prend place assise dessus. Je profite encore une fois de ce joli cul, de sa cambrure. La matière de cette culotte sur son cul m’hypnotise d’envies.











« Écarte les cuisses et branle-toi ma belle ». J’aime la regarder se caresser et encore plus quand je vois que ces caresses lui apportent bien plus de plaisirs de désirs que je ne peux de mon côté en prendre à la regarder.















« Je vais nous préparer l’apéro ma belle, viens me remonter les manches, rend toi utile » oui je prends un malin plaisir à jouer de nos désirs grandissants et c’est bien pour cela que ce petit préparatif est le bienvenu. A voir comment elle serre les cuisses de frustration, comment elle enfonce son shorty entre ces lèvres pour mieux se sentir, un petit interlude me semble tomber à point. Elle se prête au jeu et je vois bien dans ces yeux qu’elle prend plaisir aussi à jouer du moment. La veste est retirée, les manches sont retroussées.







Après avoir posé ma veste elle revient et comme si de rien n’était Elle dandine son fessier comme pour m’inviter à en abuser. Et voilà qu’elle se met à mes pieds. Je reconnais bien là les prises d’initiatives de ma petite gourmande. Je sais trop bien ce qu’elle veut, et elle se doute surement que je ne vais pas me laisser faire ainsi sans même l’y avoir invitée. Mais rien ne m’empêche d’être également un peu gourmand. Donc oui je la laisse avancer ses pions doucement et j’essaie de garder à l’esprit que la partie est loin d’être finie.






Ses doigts parcourant mon gland humide d’envie, son regard cherchant dans le mien l’approbation de lui permettre d’assouvir la sienne… quel bon moment. « Debout ma belle préparons l’apéro »



Nous voici dans notre boudoir (on finira surement par lui trouver un nom), chacun son verre à la main, à discuter de tout et de rien tout en lui demandant si les préparatifs de l’apéro dans la cuisine étaient à son goût.



En guise de réponse, elle glisse deux doigts en elle et me suggère de me faire mon avis moi-même en les portant à ma bouche. Ha quelle est bien éduquée cette demoiselle, mais pour cette énième prise d’initiative je décide d’appliquer un trait de plus sur ma belle. Ha oui, j’ai commencé à mettre quelques traits pour me souvenir précisément combien de fois cette belle a pu me « distraire » pendant que je préparais l’apéro. Punitions ou récompenses, ou récompense par le châtiment peu importe sur le moment, si ce n’est de me souvenir combien de fois. Donc nous en sommes à quatre.







« Tiens-moi le verre, pendant que je nous mets un peu de musique ». Elle a dû rester debout que quelques secondes les verres à la main avant de prendre une posture bien moins « présentable », mais que ces verres sont joliment présentés ainsi. (Passez donc à la maison prendre un verre, il n’y pas meilleur moyen de se faire un avis concret)







L’ambiance est bonne, la musique berce nos envies à son rythme. Je contemple le spectacle depuis le canapé, confortablement installé. Sa robe se relève toute seule suivant les postures que ma belle prend pour mon plus grand plaisir.







Je la rejoins un court moment, juste histoire de la débarrasser des verres afin qu’elle soit un peu plus à son aise. Putain elle est fin excitée …je ne peux résister de lui prendre à la source quelques gouttes du bout des doigts de son délicieux nectar. Cette cyprine liquoreuse est délicieuse.








Elle se replace naturellement à la croix pour me distraire, m’exciter, m’enivrer d’envies de la bousculer. Forcement de la voir ainsi dandiner, de sentir les plaisirs qu’elle a ainsi devant moi à se branler, ne me laisse vraiment pas indiffèrent.
















« Que cherches-tu as faire là ma belle, à m’exciter, arrêtes donc et viens prendre ton verre » je n’ai pas dû être assez explicite je pense, elle se prosterne devant la croix et repend son petit jeu au lieu de venir prendre place à mes pieds. Elle fait le nécessaire pour me permettre d’apprécier toutes ces cambrures, elle sait que j’aime la voir ainsi et encore plus quand ainsi elle est offerte.











« Aur j’ai dis à mes pieds » …la petite garce, elle vient à moi le cul tendu en marche arrière, du coup je profite du moment. Voir ces orifices se rapprocher de moi aussi sensuellement me permet de garder un regard envieux à tout moment.






Voilà qui est bien mieux. Je lui tends son verre et une cigarette. Je me lève et me place devant elle, puis je dégrafe ma boucle de ceinture. Mais pour le moment je lui laisse le temps d’apprécier et de consumer cet interlude.









À peine sa cigarette terminée elle loge déjà sa tête entre mes cuisses « Doucement, ma belle, cambre-toi bien que je puisse profiter de cette excitante vue le temps de déguster mon verre ». Elle s’exécute et me tend ce joli cul. L’envie de la remplir est plus fort, un doigt s’égare au plus profond d’elle.














Calmons-nous, un petit câlin et quelques blagues, juste histoire de se changer les idées.
Une petite façon de reprendre nos esprits, et de profiter encore un peu de tous nos désirs.
« Je vois que tu as chaud, met toi à l’aise ma belle »










Je lui ordonne de se retourner et de reprendre le petit jeu qu’elle a commencé devant la croix de saint André. Ces effluves de chienne me remplissent le nez, j’ai encore plus d’envies d’elle. Je lui fais comprendre en dégrafant mon gilet et …mon pantalon.










Je laisse volontairement ma ceinture trainer sur elle. Je fais en sorte qu’elle la sente au mieux en allant jusqu’ à la laisser glisser entre ces lèvres.










Je roule ma ceinture et me rassois sur le canapé. Je pense qu’elle a compris que cela me démange de la marquer avec, juste histoire de supprimer ces quelques traits réalisés sur elle. Mais avant je vais encore profiter des délices que ma belle me propose ainsi à mes pieds. Ses orifices de plus en plus dilatés me donnent vraiment envie de jouer.










Mon majeur glisse en elle sans souci, elle est accueillante à souhait et je ne pense pas que mon majeur puisse longtemps le combler. Je lui demande de me déchausser afin de pouvoir me déshabiller. De se frotter ainsi comme une chienne désireuse de se faire sodomiser, je me vois dans l’obligation d’ajouter un petit trait.











Son œillet est délicieux, ma langue s’y perd, la pénètre, putain que ce cul est bon. Je ne résiste pas à l’envie de lui mettre juste mon gland. Juste sentir son œillet lentement se dilater au fur et à mesure que mon gland vient à la pénétrer. Puis je la remplis sans ménagement de quelques va et viens violents, du moins autant que de traits distribués depuis que nous avons commencé à jouer.
Elle en veut encore, de mon côté je reprends place sur le canapé tandis qu’elle le cul tendu à mes pieds elle continue à se branler






« Retourne-toi ma belle, arrête de te branler » je sais que je vais la frustrer, mais c’est l'objectif recherché. Elle est affamée, son regard ne me laisse nullement douter. Elle se relève et vient vers moi surement dans l’espoir de s’empaler.






Je ne résiste plus aux assauts de son bassin. De plus elle est tellement trempée que ma queue a déjà à quelques reprises glissé profondément en elle. Je me laisse aller et accompagne ma belle dans cette union tant appréciée et nous prenons plaisir ainsi en toute complicité.









